ŋgwaábəŋgwaán1/2la perdrixMwǎn ə́ ŋgwaá, sáŋá a lóm mɔ́.On fait plus confiance à un étranger qu’à son propre fils. Lit. le petit de la perdrix, (qui n’est pas le petit de la poule domestique) son père l’envoie. (L’homme Bakaka appelle mwǎn ə́ ŋgwaá un enfant qui, n’en étant pas un de la famille, est élevé parfois avec plus d’égards qu’un "pur sang". Certains pères adoptifs qui n’essayent même pas de cacher les égards particuliers vont, devant leurs propres enfants, jusqu’à confier les missions plus importantes à ces enfants qu’ils ont introduits dans leur foyer.)

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