Introduction

Les buts de ce dictionnaire sont :

  1. Fournir un vocabulaire de référence pour des étrangers qui apprennent le konkomba.
  2. Permettre des nouveaux alphabétisés en konkomba d'approfondir leur connaissance de l'anglais.
  3. Stabiliser l'orthographe de la langue konkomba.
  4. Aider à établir le konkomba (likpakpaanl) comme une langue écrite.

On a essayé d'utiliser le dialecte Saboba (Lichabol) partout dans le dictionnaire, mais on risque d'avoir des incohérences parce que les éditeurs étaient en train de se déplacer continuellement pendant la période de la plupart du travail. Miss Mary Steele du « Ghana Institute of Linguistics, Literacy and Bible Translation » a fourni les données et vocabulaire initials. David Brown Magbaan de Gbeedo, (Saboba) Emmanuel Mayetiba Liwaalmɔ d'Ekumdipe (dont les ascendants ont migré de Gbadagbam) et George Uwumbɔrbi Biwiin (Tilangbeni) ont donné de leur temps et de leur énergie pour vérifier et augmenter ces informations, puis le sous-comité de la littérature du « Konkomba Literacy Committee of Ghana » et quelques superviseurs volontaires ont relu et approuvé la version finale. Dr. J. B. Hall et Dr. W. D. Swain du département botanique de l'« University of Legon » ont aussi gentiment aidé dans l'identification de certains arbres dans l'appendice (qui ne se trouve pas encore dans cette version web). Nous sommes sincèrement reconnaissants pour l'aide inestimable de tous les contributeurs. Ce dictionnaire est une version en ligne de la troisième édition imprimée, qui est une forme étendue et révisée du dictionnaire original. Il a été édité par Mary Steele. On doit remercier ceux qui l'ont saisi sur ordinateur, M. Hannes Hirzel, expert en matière de lexicographie, qui a également supervisé tous les aspects techniques de la version informatisée et Dr Tony Naden qui a donné des conseils linguistiques. Merci à Greg Trihus et Philip Perry de SIL pour avoir fourni la plate-forme de publication Web. Orthographe L'orthographe suit celui qui est utilisé actuellement dans la littérature imprimée en konkomba. Cela signifie que les voyelles longues et courtes sont distinguées par l'utilisation de lettres simples et doubles, respectivement (par exemple : a, aa). On ne marque pas le ton, mais là où deux mots se contraste uniquement par le ton et le contexte n'est pas suffisant de les distinguer, on a ajouté la lettre /h/ après la voyelle dans l'un des mots (par exemple : upii - femme, upiih - mouton). Certaines variations peuvent se produire dans l'expression du même locuteur. Par exemple, parfois il peut utiliser le son /r/ et parfois le son /l/. En outre, des variations peuvent exister entre des orateurs du même village (par exemple : certains utilisent le pluriel 'tiib' et certains 'teeb'). Dans ces cas, on a fait une décision de l'orthographe arbitraire. Mary Steele December 2012 SIL International Address French Translation: The french translation was done by Margaret Langdon. She thanks Colette Pistolet for the help.