memomə̀mɔ̀nveilléebia te bo ayap memo aluon a beaucoup veillé la nuit.
memuamə̀mùánpleine lune. Terme typique ne se rapportant qu’à la luneasu é ne wo ane ngon jas o memuata face resplendit comme la lune lorsqu’elle est pleine.
menañmə̀náŋncroissance, accroissementmon nyu a ne angôndô ya menañcet enfant grandit très vite.
menjañ1nxylophone of flat sticks laid across two plantain logs1.5Plant
menjañ2mə̀ndzáŋnxylophones, balafons. L’orchestre de « menjañ » se compose en principe de quatre séries de balafons faits de morceaux de bois (rouges) soutenus dans un cadre et portant en bas des demi-calebasses et joué par un instrumentiste appelé « mbôm mejañ ». Chacun des morceaux de vois s’appelle « anjañ » (voir ce mot) et chaque série porte le nom de « ékoé menjañ ». Toutes les séries n’ont pas le même nombre de pièces de bois. Ces instruments portent des noms précis : « omvek » ou « omvevek » est la série principale comme la guitare solo et est joué par le chef d’orchestre et porte 13 balafons (une octave et une quinte disposées en gamme diatonique majeure ; « ôlôloñ », à l’octave supérieure de l’ « ômvek » comprend presque le même nombre de balafons. Le « ñyi’ane » presqu’à l’unisson de l’ « ômvek » mais avec une quinte plus grave joue avec l’ « ôlôloñ » l’air principall tandis que l’ « ômvek » fait des fioritures. Enfin la basse ou « éndum » qui ne dispose que de 5 ou 8 balafons plaque les accords. Chaque musicien joue à l’aide de deux baguettes de bois : « minkpwaé menjañ » ou « mimbaé mejañ ». Cet orchestre donne un air de musique très saisissant et très agréable quelque soit le rythme imposémvet é nga vi’a kobô ane menjañle « mvet » résonne tellement bien qu’on dirait le « menjañ »e kobô ane menjañbien parler.nyi’i mejô a te kobô ane menjañle juge a très bien parlé.
menjemmə̀ndzə̀mnà l’aise, sans hâtema kôm ke ma tebe menjemje vais marcher aisément.