Formes de l'entrée dans le dictionnaire

 

Entrée primaire et voyelle finale

Les noms existent en deux formes, la forme contextuelle et la forme pausale. La forme de citation est la forme pausal teminant en -a. Le forme pausal termine dans une voyelle, soit -a, -ə ou -i, jamais -u (Jarvis 1989 : 51). Cette voyelle suit la form de citation:

tsakurəɗá,-a n.(1)  grosse jarre.

cekúleté, n.(3) tissue d’une couleur unique.

udɨ́ge,-i n.(3) veuve.

Le numéro entre parentaises après certain noms indique la classe tonale des perturbation subit par certains noms (Anderson et Swackhammer 1981, Jarvis 1989 : 52)

udə́va,-ə n.(3) esp. d’arbre.

yalá,-a n.(4) famille.

 

Homonymes

Les homonymes se distinguent par l’indice après le mot.

mbə́la1 v.(3a) étendre.

mbə́la2 v.(3a) être trôp.

mbə́la3 v.(3a) commencer.

 

Le pluriel

Généralement le singulier est aussi utilisé pour le pluriel. Dans certains cas le pluriel est marqué. Ces formes de pluriel sont introduites par l’abréviation Pl.

dəguzəma,-ə Pl. dagwazama. n.(1) bouc.

ujɨná,-i Pl. ujerənéki. n.(1) chevreau.

 

Sous-entrée
Les formes complexes sont presentées comme sous-entrées sous la forme de base.

yaɓa n.(1) couler, puiser.

     yaɓaha yaɓa couler.

     yaɓarə yaɓa verser (lʼeau) sur.

 

Partie du discours
Chaque mot d’entrée est suivi par l’abréviation de la partie du discours à laquelle il appartient (voir la section des abréviations).

gáɓa v. mêler.

yawə yawə id. beaucoup dʼargent.

 

Définition

La définition de chaque entrée suit l’abréviation de la partie du discours et numéro de class tonale. Elle est soit une glose simple ou une phrase explicant le sense du mot.

udzərə shɨgé,-ə n.(1) orteil.

gása,-a n.(2) travail forcé pour lʼétat.

 

Phrase illustrative et traduction

Un grand nombre d’entrées sont suivit d’une phrase avec traduction pour illustrer l’usage du mot en context.

gáragada,-a n.(2) ondulation. À garagada a barama. La route est comme la tôle.

ságwaná,-ə n.(2) courge coupée en morceaux pour cuire. À recə sagwanə ndi da cege. On coupe la courge pour mettre dans la marmite.

Le sense literal d’un example est introduit par l’abréviation Lit.

mbə́la2 v.(3a) être trop. A mbələ mbələ kali harama maka. Tu mens trop. Lit. Tes mensonges sont trop.

 

Variantes

Les variantes de certains mots sont présentées immédiatement après le mot d’entrée.

gɨ́de,-e Var. gɨ́de,-i  n.(2) ancêtres.

ŋgála,-ə Var. ŋgə́la pron. poss. mien.

 

Comparer

Certains variantes mineures ont leur propre entrée. L’abréviation Cf. indique l’entrée principale où se trouve plus d’information.

ɓɨgujɨmə  Cf. ɓəgudzəmə

məɓəsa,-i  Cf. məɗəsa

 

Forme de possession

Ceertains mots ont une forme possessive. Cette forme est présentée après le mot d’entrée.

kaya,-ə Poss. kayə daŋa n.(1) concession, case, maison.

meslira,-ə Poss. meslirəŋa n.(1) cousine ou tante maternelle.

 

Référence à la grammaire

Un certain nombre de sous-entrées sont suivit d’un numéro de référence à la grammaire (référence à ajouter)

məzá2 v.(4b) rester en plus.

     məzárə mə́za avoir en plus (litt. lui rester en plus) A məzarə məzə hiyə akə bala. Mon père a une réserve de mil. Le mil est plus que suffisant pour mon père. [Gram. 25]